Mysterious Nativity

Du compagnonnage qui unit Les Métaboles au compositeur russe Dimitri Tchesnokov est né le programme Mysterious Nativity (disque sorti en 2014 chez Brillant Classics). Les Trois chants sacrés sont sa première œuvre pour chœur, composée en miroir des Trois hymnes sacrés de son compatriote Alfred Schnittke (1984). L'aspect extrêmement hiératique que prend la sonorité du chœur dans ce programme fait oublier au spectateur qu’il s’agit, abstraction faite du célèbre Hymne des Chérubins de Tchaïkovski, d'œuvres des XXe et XXIe siècles.

Mysterious Nativity illustre le parti pris des Métaboles : défendre le répertoire choral de toutes les époques et promouvoir les chefs-d'œuvre contemporains peu connus en France. Le programme met ainsi à l’honneur des œuvres pour chœur de Georgy Sviridov, extrêmement connues en Russie mais peu chantées en France, ou encore les pièces du célèbre compositeur estonien Arvo Pärt : Magnificat et Nunc dimittis.

MYSTERIOUS NATIVITY


Piotr Ilitch Tchaïkovski,
L’Hymne des Chérubins opus 41, n.6
Vytautas Miškinis,
O salutaris hostia
Arvo Pärt
Magnificat
Nunc dimittis
Georgy Sviridov,
Mysterious Nativity
Dimitri Tchesnokov,
Trois chants sacrésopus 43
- De profundis
- Miserere
- Pater Noster 
Ave verum corpus opus 67
pour voix de femmes
Alfred Schnittke, 
Trois hymnes sacrés
- Bogoroditse
- Gospodi,
- Ocenas 
Georgy Sviridov, Sviatyï Boje
 


Les Métaboles (18 à 24 chanteurs)
Léo Warynski, direction

Extraits...

Arvo Pärt - Magnificat

Extrait de l'album Mysterious Nativity - 2014

Arvo Pärt - Magnificat

Extrait de l'album Mysterious Nativity - 2014

Dimitri Tchesnokov - Miserere

Extrait de l'album Mysterious Nativity - 2014

Dimitri Tchesnokov - Miserere

Extrait de l'album Mysterious Nativity - 2014

Dans la presse...

Qualité et l’homogénéité de la formation chorale

Anaclase - Gilles Charlassier
 - Mysterious Nativity à Vezelay

Qualité et l’homogénéité de la formation chorale

Anaclase - Gilles Charlassier - Mysterious Nativity à Vezelay

Augurant un florilège au parfum d’éternité, l’Hymne des chérubins (Херувимская песнь), sixième séquence de la Liturgie de saint Jean Chrysostome Op.41 de Tchaïkovski (Литургія Святаго Іоанна Златоустаго, 1879). La suavité de la page, où la sentimentalité du compositeur russe s’affirme en une belle décantation, met tout de suite en évidence la qualité et l’homogénéité de la formation chorale, tuilant avec une douceur inspirée les articulations du poème. Né en 1954 à Vilnius, Vytautas Miškinis livre dans O salutaris hostia (1991), écrit au moment de l’effondrement de l’URSS, un condensé de dépouillement, magnifié par la précision des entrées qui n’accuse jamais les attaques. Cette caresse de textures d’une saisissante luminosité ne néglige cependant pas l’expressivité du verbe, jouant dans « Bella premunt hostilia » (« Les armées ennemies nous poursuivent ») d’effets imitatifs qui rappellent La Guerre de Janequin, avant de revenir à l’intimité initiale. Sans intention moderniste, le morceau se distingue par une intemporalité sincère que les pupitres restituent avec une conviction communicative, au point de le resservir en bis.

D’Arvo Pärt, référence du refuge en réaction aux tumultes d’un aujourd’hui auquel certains refusent la « beauté », Magnificat de 1989 et Nunc dimittis, de douze ans postérieur, affirment un halo d’apaisement ciselé avec soin, jusqu’aux délicats confins du murmure, avant Странное Рождество видевше (Mystère de la Nativité), page de rituel orthodoxe (en russe, donc) composée en 1991 par Gueorgui Sviridov (1915-1998). On retrouve l’atmosphère de ferveur recueillie, dans un élan maîtrisé, avec un grain d’une pureté admirable qui suit les linéaments d’une jubilation intérieure, jusqu’aux éclats d’Alléluias irisés, en conclusion de chacune des deux strophes et climax suspendu à la fin de la dernière.

Du jeune Franco-ukrainien Dimitri Tchesnokov (né en 1982), Trois chants sacrés Op. 43 de 2009 ne démentit pas un monochrome liturgique détaillé sans faiblesse ni redondance au fil de trois numéros (De profundis, Miserere et Pater noster) aux dynamiques formelles complémentaires. Éclaircissant les rangs, Ave Verum Corpus Op.67 pour voix de femmes (créé deux ans plus tard) prolonge cet éther avec une remarquable économie de moyens. Datés de 1983, les Trois hymnes sacrés d’Alfred Schnittke – Je vous salue Marie, Jésus notre Seigneur et Notre Père – reviennent à la langue russe et à l’Église d’Orient, sans trahir le climat installé, quand le bref Свeтй Бoжз (Éternel Dieu) de Sviridov constitue un viatique à l’image des évanescences défendues par Léo Warynski et Les Métaboles, mettant opportunément en valeur les vertus évidentes de l’ensemble.

De l’étoffe dont sont faits les anges : Les Métaboles à Vézelay

Bachtrack - Tristan Labouret
 - Mysterious Nativity à Vezelay

De l’étoffe dont sont faits les anges : Les Métaboles à Vézelay

Bachtrack - Tristan Labouret - Mysterious Nativity à Vezelay

Il y aura un deuxième bis. La scène est déserte depuis longtemps, les lumières ont été rallumées mais l’ovation qui salue encore Les Métaboles dans les collatéraux de la basilique de Vézelay incite Léo Warynski, le chef du choeur, à faire demi-tour pour remonter au pupitre. Quelques secondes plus tard, les pépiements surnaturels du O Salutaris hostia de Vytautas Miskinis s’élèvent à nouveau le long des hauts murs centenaires, bientôt rejoints par un choral granitique de voix masculines. On a beau s’y attendre après avoir admiré cette pièce méconnue au début du concert, il est impossible de ne pas frissonner.
Une heure auparavant, le monde des Métaboles s’est ouvert sur le merveilleux Hymne des Chérubins de Tchaïkovski. Les uns après les autres, les chanteurs rejoignent une même voie, un même souffle aérien, enchâssant délicatement leurs timbres sur le même objet sonore. Léo Warynski trace une mesure habitée, claire, souple, aux précisions discrètes : il n’a pas besoin d’user de gestes trop didactiques tant ses chanteurs connaissent leur chemin. Leurs respirations sont inaudibles, à peine perceptibles physiquement.
Le maestro profite des capacités hors norme de ses troupes pour dessiner des phrasés interminables et soigner des progressions dynamiques au long cours ; le fortissimo tendu comme un arc au sommet de la Mysterious Nativity (de Georgy Sviridov) fera trembler la voûte de la basilique. Jamais affectées, toujours impeccablement justes, même face aux accords fournis de Tchesnokov (Trois chants sacrés), Les Métaboles sont décidément de l’étoffe dont sont faits les anges.
Une heure de polyphonies a cappella dans la tradition russe orthodoxe pourrait lasser, même dans une interprétation divine. Toute l’intelligence de Léo Warynski est d’avoir agencé un programme aussi cohérent que varié, attrapant l’auditeur par l’oreille et ne le lâchant qu’après une heure de sensations fortes. Les étages formidables du contrepoint de Miskinis s’aplanissent tout à coup, laissant la place aux fils d’or tissés par Arvo Pärt dans son Magnificat. Puis c’est la procession imperturbable du Nunc dimittis et ses syllabes carillonnantes, la puissance presque agressive du Sviridov, les harmonies éthérées des voix de femmes,
laissées seules dans l’Ave verum corpus de Tchesnokov… Ces Métaboles portent bien leur nom, tant elles savent adapter légèrement leur identité sonore pour donner l’éclat propre à chaque pièce.
Arrive l’exigeante mélopée du « Bogoroditse » de Schnittke. Les chanteurs articulent le texte avec ce juste milieu de précision (indispensable pour rendre audibles les paroles) et de naturel (nécessaire pour ne pas révéler l’artifice). L’acoustique réverbérante pourrait noyer le choral, fondre les voix mais les basses ne dispersent pas leurs graves, les sopranos posent doucement leurs aigus ; les voix intermédiaires sont ainsi parfaitement perceptibles. Chaque pupitre reste homogène et le cheminement harmonique s’écoule avec une limpidité exemplaire. Quelques instants plus tard, quand le méditatif Sviatyï Bozhe de Sviridov marque la fin
du concert, le retour sur terre est brutal. Warynski a l’habileté de proposer, en bis, un extrait de la plus emblématique des oeuvres vocales russes : les fameuses Vêpres de Rachmaninov viennent répondre à L'Hymne des Chérubins et remettent l’auditeur sur les sentiers battus du grand répertoire.
Le pèlerinage polyphonique a cependant paru si bref que certains spectateurs, désireux de prolonger l’expérience métabolique, accourront à la messe du lendemain matin pour le seul plaisir d’y entendre une nouvelle fois le choeur, sollicité pour ponctuer l’office. En mal de vocations, l’Église pourra y trouver matière à réflexion : Les Métaboles ressemblent bien à une arme de conversion massive.

Une expérience sonore exceptionnelle

La Croix - Emmanuelle Giuliani
 - Mysterious Nativity à Vezelay

Une expérience sonore exceptionnelle

La Croix - Emmanuelle Giuliani - Mysterious Nativity à Vezelay

Il y a des jours comme cela où tout semble soumis au généreux caprice d’une bonne fée. Le temps est admirable, l’air léger, la musique enthousiasmante. Ainsi ce samedi de la fin août, troisième et (déjà !) avant-dernière journée des Rencontres musicales de Vézelay qui célèbrent leur 20 anniversaire.

Une expérience sonore exceptionnelle
Le soir, dans la basilique de Vézelay, autre effectif (24 chanteurs a cappella), autres siècles (du XIX à nos jours), autre ère géographique et religieuse (entre pays baltes et Russie). Au pupitre, Léo Warynski entraîne son ensemble, Les Métaboles, dans un voyage musical dominé par l’introspection, la nuance et la recherche de ces vibrations qui émanent du corps des chanteurs pour s’épanouir dans l’ensemble de l’édifice de pierre, depuis le sol jusqu’aux voûtes les plus élevées. Voici une expérience sonore
où la basilique devient elle-même un immense et lumineux instrument de musique.
De l’enveloppant et tendre Hymne des Chérubins de Tchaïkovski aux rutilants Hymnes sacrés de Schnittke en passant par l’hypnotique Magnificat d’Arvo Pärt ou l’impressionnante Mysterious Nativity de Sviridov, l’évidence est là : la perfection vocale des Métaboles se hisse à un niveau rarement atteint et l’écoute du public s’en ressent immédiatement.
Léo Warynski obtient des chanteurs ce que les meilleurs peintres font naître de leur palette : transparences irisées, textures brillantes, couleurs éclatantes, pastels paradisiaques ou noirs lumineux… Cette plasticité vocale époustouflante et l’intelligence du programme inscrivent cette soirée du 24 août 2019 en lettres d’or dans les annales des Rencontres musicales de Vézelay. Le public ne s’y est pas trompé, fêtant plus que chaleureusement les interprètes et leur chef.

Une expérience sonore exceptionnelle

La Croix - Emmanuelle Giuliani
 - Mysterious Nativity à Vezelay

Une expérience sonore exceptionnelle

La Croix - Emmanuelle Giuliani - Mysterious Nativity à Vezelay

Il y a des jours comme cela où tout semble soumis au généreux caprice d’une bonne fée. Le temps est admirable, l’air léger, la musique enthousiasmante. Ainsi ce samedi de la fin août, troisième et (déjà !) avant-dernière journée des Rencontres musicales de Vézelay qui célèbrent leur 20 anniversaire.

Une expérience sonore exceptionnelle
Le soir, dans la basilique de Vézelay, autre effectif (24 chanteurs a cappella), autres siècles (du XIX à nos jours), autre ère géographique et religieuse (entre pays baltes et Russie). Au pupitre, Léo Warynski entraîne son ensemble, Les Métaboles, dans un voyage musical dominé par l’introspection, la nuance et la recherche de ces vibrations qui émanent du corps des chanteurs pour s’épanouir dans l’ensemble de l’édifice de pierre, depuis le sol jusqu’aux voûtes les plus élevées. Voici une expérience sonore
où la basilique devient elle-même un immense et lumineux instrument de musique.
De l’enveloppant et tendre Hymne des Chérubins de Tchaïkovski aux rutilants Hymnes sacrés de Schnittke en passant par l’hypnotique Magnificat d’Arvo Pärt ou l’impressionnante Mysterious Nativity de Sviridov, l’évidence est là : la perfection vocale des Métaboles se hisse à un niveau rarement atteint et l’écoute du public s’en ressent immédiatement.
Léo Warynski obtient des chanteurs ce que les meilleurs peintres font naître de leur palette : transparences irisées, textures brillantes, couleurs éclatantes, pastels paradisiaques ou noirs lumineux… Cette plasticité vocale époustouflante et l’intelligence du programme inscrivent cette soirée du 24 août 2019 en lettres d’or dans les annales des Rencontres musicales de Vézelay. Le public ne s’y est pas trompé, fêtant plus que chaleureusement les interprètes et leur chef.

Une époustouflante immersion dans la musique sacrée de l’ancien bloc soviétique

DNA - Christian Wolff
 - Mysterious Nativity

Une époustouflante immersion dans la musique sacrée de l’ancien bloc soviétique

DNA - Christian Wolff - Mysterious Nativity

L’ensemble Les Métaboles signait mardi soir, en l’église protestante Saint-Pierre-le-Jeune, une époustouflante immersion dans la musique sacrée de l’ancien bloc soviétique, a cappella ou accompagné par l’organiste Denis Comtet. Au milieu d’une soirée suspendue durant laquelle le public captif a pu admirer toutes les qualités revendiquées de ce jeune ensemble (…) :  homogénéité et justesse exceptionnelles, rondeur de la texture, lecture erratique et objective des partitions. 

Une époustouflante immersion dans la musique sacrée de l’ancien bloc soviétique

DNA - Christian Wolff
 - Mysterious Nativity

Une époustouflante immersion dans la musique sacrée de l’ancien bloc soviétique

DNA - Christian Wolff - Mysterious Nativity

L’ensemble Les Métaboles signait mardi soir, en l’église protestante Saint-Pierre-le-Jeune, une époustouflante immersion dans la musique sacrée de l’ancien bloc soviétique, a cappella ou accompagné par l’organiste Denis Comtet. Au milieu d’une soirée suspendue durant laquelle le public captif a pu admirer toutes les qualités revendiquées de ce jeune ensemble (…) :  homogénéité et justesse exceptionnelles, rondeur de la texture, lecture erratique et objective des partitions. 

Une belle homogénéité

Classica - Bernard Dermoncourt

Une belle homogénéité

Classica - Bernard Dermoncourt -

Le chœur Métaboles fait preuve d’une belle homogénéité, et dans les voix aigus, d’une sensibilité très touchante.

Une belle homogénéité

Classica - Bernard Dermoncourt

Une belle homogénéité

Classica - Bernard Dermoncourt -

Le chœur Métaboles fait preuve d’une belle homogénéité, et dans les voix aigus, d’une sensibilité très touchante.

Die faszinierendste Vokalmusik-Veröffentlichung des Jahres

Brillant Classics - du chroniqueur Sal

Die faszinierendste Vokalmusik-Veröffentlichung des Jahres

Brillant Classics - du chroniqueur Sal -

Dies ist – zumindest für mich – die faszinierendste Vokalmusik-Veröffentlichung des Jahres. »
(C'est - tout au moins pour moi - la publication de musique vocale la plus fascinante de l'année.)

L’homogénéité de l’ensemble ne fait aucun doute

Diapason
 - Concordances des temps, de Schütz à Hersant

En vente sur le site...

Mysterious Nativity

Mysterious Nativity, par l’ensemble vocal Les Métaboles, sous la direction de Léo Warynski.
CD enregistré en Novembre 2013 à la Chapelle Saint-Louis (Paris)
Direction Artistique et enregistrement : Jiri Heger

2021

août

Vendredi 6 août 2021 - 21hMysterious NativitySemaines musicales de Quimper

Tout au long de son histoire, parfois à travers des formes très épurées, la musique s’est mise en quête de faire entendre l’indicible et de permettre au silence dont elle surgit de rappeler à l’homme sa part d’éternité. Après le célèbre Hymne des Chérubins de Tchaïkovski, ce concert de polyphonies a cappella dans la tradition russe orthodoxe déclinera cet esprit de dépouillement à travers des œuvres des XXe et XXIe siècles d’Arvo Pärt, passé maître dans cet art de la simplicité, et des pages moins connues mais non moins saisissantes de Georgy Sviridov et Vytautas Miškinis. Mêlant recueillement et jubilation intérieure, l’excellence vocale des Métaboles suffit à rendre perceptible le déploiement intime et mystérieux du murmure de l’âme.

Les Métaboles
Léo Warynski, direction musicale

Réservation ici

juin

Samedi 12 juin 2021 - 17hMysterious NativityCollège des Bernardins - Paris

Tout au long de son histoire, parfois à travers des formes très épurées, la musique s’est mise en quête de faire entendre l’indicible et de permettre au silence dont elle surgit de rappeler à l’homme sa part d’éternité. Après le célèbre Hymne des Chérubins de Tchaïkovski, ce concert de polyphonies a cappella dans la tradition russe orthodoxe déclinera cet esprit de dépouillement à travers des œuvres des XXe et XXIe siècles d’Arvo Pärt, passé maître dans cet art de la simplicité, et des pages moins connues mais non moins saisissantes de Georgy Sviridov et Vytautas Miškinis. Mêlant recueillement et jubilation intérieure, l’excellence vocale des Métaboles suffit à rendre perceptible le déploiement intime et mystérieux du murmure de l’âme.

Les Métaboles
Léo Warynski, direction musicale

Reservations ici

2020

novembre

Vendredi 14 novembre 2020Annulé - Mysterious NativityCollège des Bernardins - Paris

Du compagnonnage qui unit Les Métaboles au compositeur Dimitri Tchesnokov est né le programme Mysterious Nativity, composé d’oeuvres d'œuvres des XXe et XXIe siècles, essentiellement russes. Un programme à l’image des Métaboles, qui défend le répertoire choral.

Les Métaboles
Léo Warynski, direction musicale

août

Mardi 11 août 2020Reporté - Mysterious NativityQuimper

Un programme envoûtant sur le thème de la nativité, où recueillement et spiritualité habitent les compositeurs russes et baltes dans leur approche sensible des textes sacrés. Un moment de musique chorale saisissant.

2019

août

24 août 2019 - 21hMysterious nativityCité de la Voix à Vezelay

Concert olfactif

Du compagnonnage qui unit Les Metaboles au compositeur Dimitri Tchesnokov est né le programme du disque Mysterious Nativity, sorti en 2014 chez Brillant Classics et à l'origine de ce concert.

2018

juin

Samedi 16 juin 2018 - 21hMysterious NativityAbbaye Saint-Vincent de Nieul-sur-l'Autise

Concert olfactif

Du compagnonnage qui unit Les Metaboles au compositeur Dimitri Tchesnokov est né le programme du disque Mysterious Nativity, sorti en 2014 chez Brillant Classics et à l'origine de ce concert.

2016

octobre

Mardi 4 octobre 2016Mysterious NativityFestival Musica - Église Saint-Pierre-le-Jeune de Strasbourg

Œuvres pour chœur et orgue de Pärt, Sviridov, Miskinis, Tchesnokov...
Les Métaboles
Orgue
Léo Warynski, direction musicale