Léo Warynski, entre chœur et orchestre – Un talent bien partagé
Une soirée à l’église des Billettes en décembre 2016 a été le cadre d’un des concerts les plus originaux de la saison dernière à Paris puisqu’il associait des pages de musique chorale a cappella américaine interprétées par le chœur les Métaboles de Léo Warynski à ... des fragrances imaginées par le parfumeur Quentin Bisch ! Étonnante expérience dont Jean-Guillaume Lebrun s’était fait l’écho dans nos colonnes. Léo Warynski est de retour pour une fin d’année bien occupée, de Royaumont à Strasbourg et de Rouen à Paris.
L’esthétique sonore des Métaboles ? Grande adaptabilité, plasticité du son en fonction du répertoire, attention aiguë à l’homogénéité et à la justesse. « Elle m’obsède, reconnaît Léo Warynski ; un chœur qui chante juste c’est un chœur qui sonne bien ! » Il compare la discipline du chœur à celle du quatuor à cordes : « même force émotionnelle qui procède de la fragilité de l’ensemble au départ. »
L’esthétique sonore des Métaboles ? Grande adaptabilité, plasticité du son en fonction du répertoire, attention aiguë à l’homogénéité et à la justesse
Lundi 4 septembre 2017
ConcertClassic.com - Alain Cochard
Une nuit américaine