"Quand meurent les hommes, ils chantent". Ce vers de Khlebnikov donne son titre à l'une des oeuvres majeures bouleversantes, de la dernière période de Luigi Nono. Un même souffle de vie traverse les pièces pour flûte de Salvatore Sciarrino et les madrigaux de Luzzasco Luzzaschi composa jadis pour le concerto delle donne, à la cour du duc d'Este
L'ITALIE AU FESTIVAL D'AUTOMNE
Luigi Nono : Quando stanno morendo
Salvatore Sciarrino :
Addio case del vento
Canzona di ringraziamento
Cresce veloce un cristallo
Luzzasco Luzzaschi
Non sa che sia dolore
Aura soave di segreti accenti
Io mi son Giovinetta
O dolcezze amarissime d’amore
Diario Polacco
Les Métaboles
Ensemble Multilatérale
Matteo Cesari, flûte
SWR Experimentalestudio
Léo Warynski, direction