Une nuit Américaine

Un programme qui met à l’honneur la musique vocale américaine des XXe et XXIe siècle, à travers des compositeurs emblématiques de la grande tradition chorale d’outre Atlantique. Qu’on pense notamment à Barber – son célèbre Agnus Dei, mais aussi Les Reincarnations, cycle de chansons sur des poèmes irlandais – Copland – représentant majeur de sa génération, et auteur d’une oeuvre chorale importante – ou plus récemment Eric Whitacre, jeune compositeur dont la réputation a franchi depuis longtemps les frontières des Etats-Unis.

Sur ce programme musical, Quentin Bisch a imaginé un cycle de quatre parfums qui mène de la tombée de la nuit à l’aube.

UNE NUIT AMÉRICAINE

Concert olfactif


Aaron Copland, Four motets
Morton Feldman, Christian Wolff in Cambridge
Eric Whitacre, Lux aurumque & Sleep
Morten Lauridsen, O Magnum Mysterium
Samuel Barber, Reincarnations & Let down the Bars O Death & To be sung on the water
Steven Stucky, Whispers


Les Métaboles (16 à 24 chanteurs)
Léo Warynski, direction

Extraits...

Steven Stucky - Whispers

Extrait de l'album Une nuit américaine - 2016

Steven Stucky - Whispers

Extrait de l'album Une nuit américaine - 2016

Dans la presse...

Le chœur Les Métaboles s’est illustré avec talent et subtilité

Classique mais pas has been - Nathalie Niervèze
 - Une nuit américaine au Festival de la Chaise Dieu

Le chœur Les Métaboles s’est illustré avec talent et subtilité

Classique mais pas has been - Nathalie Niervèze - Une nuit américaine au Festival de la Chaise Dieu

Outre les grandes pages du répertoire symphonique toujours interprétées magistralement dans un cadre extraordinaire, le festival de La Chaise-Dieu (Haute-Loire) permet de découvrir des petits bijoux. Découvrez ici l’ensemble vocal Les Métaboles qui se plaît dans le répertoire choral américain.

Samuel Barber ? On connaît son Adagio pour cordes. Aaron Copland ? Morton Feldman ? Ces noms ne sont pas inconnus mais connaissez vous Steven Stucky et Eric Whitacre ? Le chœur Les Métaboles s’est illustré avec talent et subtilité dans l’œuvre de ces polyphonistes, certes peu connues, mais dont la musicalité et l’écriture n’a rien à envier à Palestrina, ou à Gesualdo.

Ces œuvres aux couleurs tantôt acidulées tantôt jazzy et aux tons sombres ou sensuels – les délicieuses dissonances de Whispers signées Steven Stucky donnent en effet des frissons redoutables – ont chatoyé nos oreilles grâce aux voix chaudes et rondes de l’ensemble. Les Métaboles ont fait preuve de beaucoup de générosité et de simplicité. Tout doux, le To Be Sung on the Water de Barber est une caresse. Les œuvres jouent avec les mots et les sonorité, à l’image de Sleep (Eric Whitacre) qui se termine… en chuchotements ! Chanter a cappella tout un concert relève de l’exploit, que le chœur, dirigé de la main toujours mesurée de Léo Warynski, réussi avec justesse.

Nul besoin de toujours vouloir montrer ses muscles donc, car même les petites choses, à l’image de ce beau concert, peuvent séduire le public.

L’esthétique sonore des Métaboles ? Grande adaptabilité, plasticité du son en fonction du répertoire, attention aiguë à l’homogénéité et à la justesse

ConcertClassic.com - Alain Cochard - Une nuit américaine

Léo  Warynski,  entre  chœur  et  orchestre  –  Un  talent bien  partagé
Une  soirée  à  l’église  des  Billettes  en  décembre  2016  a  été  le  cadre  d’un  des  concerts  les plus  originaux  de  la  saison  dernière  à  Paris  puisqu’il associait  des  pages  de  musique chorale  a  cappella  américaine  interprétées  par  le  chœur les  Métaboles  de  Léo  Warynski à  ...  des  fragrances  imaginées  par  le  parfumeur  Quentin  Bisch  !  Étonnante expérience  dont  Jean-Guillaume  Lebrun  s’était  fait  l’écho  dans  nos  colonnes.  Léo Warynski  est  de  retour  pour  une  fin  d’année  bien  occupée,  de  Royaumont  à  Strasbourg  et de  Rouen  à  Paris.
L’esthétique  sonore  des  Métaboles  ?  Grande  adaptabilité,  plasticité  du  son en  fonction  du  répertoire,  attention  aiguë  à  l’homogénéité  et  à  la  justesse.  « Elle m’obsède,  reconnaît  Léo  Warynski  ;  un  chœur  qui  chante  juste  c’est  un  chœur  qui  sonne bien ! »  Il  compare  la  discipline  du  chœur  à  celle  du  quatuor  à  cordes : « même  force émotionnelle  qui  procède  de  la  fragilité  de  l’ensemble  au  départ. »

L’esthétique sonore des Métaboles ? Grande adaptabilité, plasticité du son en fonction du répertoire, attention aiguë à l’homogénéité et à la justesse

ConcertClassic.com - Alain Cochard - Une nuit américaine

Léo  Warynski,  entre  chœur  et  orchestre  –  Un  talent bien  partagé
Une  soirée  à  l’église  des  Billettes  en  décembre  2016  a  été  le  cadre  d’un  des  concerts  les plus  originaux  de  la  saison  dernière  à  Paris  puisqu’il associait  des  pages  de  musique chorale  a  cappella  américaine  interprétées  par  le  chœur les  Métaboles  de  Léo  Warynski à  ...  des  fragrances  imaginées  par  le  parfumeur  Quentin  Bisch  !  Étonnante expérience  dont  Jean-Guillaume  Lebrun  s’était  fait  l’écho  dans  nos  colonnes.  Léo Warynski  est  de  retour  pour  une  fin  d’année  bien  occupée,  de  Royaumont  à  Strasbourg  et de  Rouen  à  Paris.
L’esthétique  sonore  des  Métaboles  ?  Grande  adaptabilité,  plasticité  du  son en  fonction  du  répertoire,  attention  aiguë  à  l’homogénéité  et  à  la  justesse.  « Elle m’obsède,  reconnaît  Léo  Warynski  ;  un  chœur  qui  chante  juste  c’est  un  chœur  qui  sonne bien ! »  Il  compare  la  discipline  du  chœur  à  celle  du  quatuor  à  cordes : « même  force émotionnelle  qui  procède  de  la  fragilité  de  l’ensemble  au  départ. »

Les Métaboles ravissent le public avec leur chant impeccable

Ouest France
 - Une nuit américaine

Les Métaboles ravissent le public avec leur chant impeccable

Ouest France - Une nuit américaine

Les semaines musicales de Quimper
Deux concerts mémorables. D'un côté, les Métaboles ravissent le public avec leur chant impeccable. De l'autre, le Duo Estampes impressionne par sa maîtrise instrumentale.

Trois rappels. Le public ne pouvait plus laisser partir les chanteurs des Métaboles et leur chef,Léo Waryinski. Il faut dire que le programme était original, peu connu et surtout interprété avec une rare perfection
Le concert a été imaginé par le jeune chef avec plusieurs étapes, du crépuscule à l'endormissement, puis l'aurore... Entre ­temps, le sommeil, le rêve... En débutant par les "Motets" d'Aaron Copland, cette soirée annonçait une très belle nuit à venir. Puis le "Whisper" de Steven Stucky, très bel hommage à l'"Ave Verum" de Byrd, suivi des pièces de Morton Feldman et le "O magnum mysterium" de Morten Lauridsen dont le caractère méditatif conduisait en toute sérénitévers un sommeil profond.La seconde partie de ce concert était consacrée à Samuel Barber. Le plus connu des compositeurs américains en France, avec la seule pièce qui ait traversé l'Atlantique,l'incontournable Agnus­Dei, qui fut d'abord un quatuor à cordes, a ému le public. En guise de rappel, les artistes avaient choisi d'interpréter une transcription de "Jardin Féerique" de Maurice Ravel, mais le public a pu savourer de nouveau deux pièces du programme, "Sleep" d'Eric Whitaker, et "O magnum mysterium",encore une fois longuement salué. Le festival touche à sa fin, et restera très certainement marqué par cette soirée avec les Métaboles, placée sous le signe de la perfection.

Les Métaboles ravissent le public avec leur chant impeccable

Ouest France
 - Une nuit américaine

Les Métaboles ravissent le public avec leur chant impeccable

Ouest France - Une nuit américaine

Les semaines musicales de Quimper
Deux concerts mémorables. D'un côté, les Métaboles ravissent le public avec leur chant impeccable. De l'autre, le Duo Estampes impressionne par sa maîtrise instrumentale.

Trois rappels. Le public ne pouvait plus laisser partir les chanteurs des Métaboles et leur chef,Léo Waryinski. Il faut dire que le programme était original, peu connu et surtout interprété avec une rare perfection
Le concert a été imaginé par le jeune chef avec plusieurs étapes, du crépuscule à l'endormissement, puis l'aurore... Entre ­temps, le sommeil, le rêve... En débutant par les "Motets" d'Aaron Copland, cette soirée annonçait une très belle nuit à venir. Puis le "Whisper" de Steven Stucky, très bel hommage à l'"Ave Verum" de Byrd, suivi des pièces de Morton Feldman et le "O magnum mysterium" de Morten Lauridsen dont le caractère méditatif conduisait en toute sérénitévers un sommeil profond.La seconde partie de ce concert était consacrée à Samuel Barber. Le plus connu des compositeurs américains en France, avec la seule pièce qui ait traversé l'Atlantique,l'incontournable Agnus­Dei, qui fut d'abord un quatuor à cordes, a ému le public. En guise de rappel, les artistes avaient choisi d'interpréter une transcription de "Jardin Féerique" de Maurice Ravel, mais le public a pu savourer de nouveau deux pièces du programme, "Sleep" d'Eric Whitaker, et "O magnum mysterium",encore une fois longuement salué. Le festival touche à sa fin, et restera très certainement marqué par cette soirée avec les Métaboles, placée sous le signe de la perfection.

Les chanteurs, superbement dirigés par Léo Warynski, ont magnifiquement retracé le climat d’une bien étrange nuit américaine

Le Télégramme - Éliane Faucon-Dumont - Une nuit américaine

Les Métaboles chantent la nuit américaine
... Les chanteurs, superbement  dirigés par Léo Warynski, ont magnifiquement retracé le climat d’une bien étrange nuit américaine, au sein de laquelle se sont épanouies les musiques parfois planantes, toujours touchantes, signées Samuel Barber, Eric Whitacre, Morten Lauridsen, Morton Fedman et Aaron Copland.

Il faut saluer la grande beauté de l’ensemble, la pureté des timbres et le raffinement de ces jeunes chanteurs qui leur permettent d’avoir une sonorité unique

Classica - Romaric Gergorin - Une nuit américaine (CD)

Une nuit américaine – œuvres de Copland, Barber, Feldman, Whitacre
Les Métaboles proposent un beau panorama d’œuvres vocales toutes empreintes d’une grande ferveur sans jamais tomber dans un dramatisme pompier, écueil fatal à nombre de compositeurs contemporains actuels. (…)… il faut saluer la grande beauté de l’ensemble, la pureté des timbres et le raffinement de ces jeunes chanteurs qui leur permettent d’avoir une sonorité unique qu’on aimerait entendre dans "Rothko Chapel" de Feldman plutôt que dans l’anecdotique "Christian Wolf in Cambridge".

Il faut saluer la grande beauté de l’ensemble, la pureté des timbres et le raffinement de ces jeunes chanteurs qui leur permettent d’avoir une sonorité unique

Classica - Romaric Gergorin - Une nuit américaine (CD)

Une nuit américaine – œuvres de Copland, Barber, Feldman, Whitacre
Les Métaboles proposent un beau panorama d’œuvres vocales toutes empreintes d’une grande ferveur sans jamais tomber dans un dramatisme pompier, écueil fatal à nombre de compositeurs contemporains actuels. (…)… il faut saluer la grande beauté de l’ensemble, la pureté des timbres et le raffinement de ces jeunes chanteurs qui leur permettent d’avoir une sonorité unique qu’on aimerait entendre dans "Rothko Chapel" de Feldman plutôt que dans l’anecdotique "Christian Wolf in Cambridge".

Les Métaboles poursuivent leur inscription dans un paysage de l’excellence chorale française

Diapason - Benoît Fauchet
 - Une nuit américaine

Les Métaboles poursuivent leur inscription dans un paysage de l’excellence chorale française

Diapason - Benoît Fauchet - Une nuit américaine

Après six ans d’existence, Les Métaboles poursuivent leur inscription dans un paysage de l’excellence chorale française qui, d’Accentus à Aedes, ne manque plus de valeurs sûres.

Les Métaboles poursuivent leur inscription dans un paysage de l’excellence chorale française

Diapason - Benoît Fauchet
 - Une nuit américaine

Les Métaboles poursuivent leur inscription dans un paysage de l’excellence chorale française

Diapason - Benoît Fauchet - Une nuit américaine

Après six ans d’existence, Les Métaboles poursuivent leur inscription dans un paysage de l’excellence chorale française qui, d’Accentus à Aedes, ne manque plus de valeurs sûres.

En vente sur le site...

Une nuit américaine

Un enregistrement de ce programme, réalisé lors de ..., est disponible à la vente sur notre site.

2019

août

Vendredi 30 août 2019 - 21hUne nuit américaineFestival de La Chaise-Dieu

Un programme qui met à l’honneur la musique vocale américaine des XX et XXIe siècle, à travers des compositeurs emblématiques de la grande tradition chorale d’outre Atlantique. Qu’on pense notamment à Barber – son célèbre Agnus Dei, mais aussi Les Reincarnations, cycle de chansons sur des poèmes irlandais – Copland – représentant majeur de sa génération, et auteur d’une oeuvre chorale importante – ou plus récemment Eric Whitacre, jeune compositeur dont la réputation a franchi depuis longtemps les frontières des Etats-Unis.

27 août 2019 - 20h30Une nuit américaineLes Musicales de Normandie

Un programme qui met à l’honneur la musique vocale américaine des XX et XXIe siècle, à travers des compositeurs emblématiques de la grande tradition chorale d’outre Atlantique. Qu’on pense notamment à Barber – son célèbre Agnus Dei, mais aussi Les Reincarnations, cycle de chansons sur des poèmes irlandais – Copland – représentant majeur de sa génération, et auteur d’une oeuvre chorale importante – ou plus récemment Eric Whitacre, jeune compositeur dont la réputation a franchi depuis longtemps les frontières des Etats-Unis.

Sur ce programme musical, Quentin Bisch a imaginé un cycle de quatre parfums qui mène de la tombée de la nuit à l’aube.

juillet

20 juillet 2019Une nuit américaineAbbaye de Noirlac

Un programme qui met à l’honneur la musique vocale américaine des XX et XXIe siècle, à travers des compositeurs emblématiques de la grande tradition chorale d’outre Atlantique. Qu’on pense notamment à Barber – son célèbre Agnus Dei, mais aussi Les Reincarnations, cycle de chansons sur des poèmes irlandais – Copland – représentant majeur de sa génération, et auteur d’une oeuvre chorale importante – ou plus récemment Eric Whitacre, jeune compositeur dont la réputation a franchi depuis longtemps les frontières des Etats-Unis.

Sur ce programme musical, Quentin Bisch a imaginé un cycle de quatre parfums qui mène de la tombée de la nuit à l’aube.

2017

août

Jeudi 16 août 2017Une nuit américaineLes Semaines musicales de Quimper - Cathédrale Saint-Corentin

Un programme qui met à l’honneur la musique vocale américaine des XX et XXIe siècle, à travers des compositeurs emblématiques de la grande tradition chorale d’outre Atlantique. Qu’on pense notamment à Barber – son célèbre Agnus Dei, mais aussi Les Reincarnations, cycle de chansons sur des poèmes irlandais – Copland – représentant majeur de sa génération, et auteur d’une oeuvre chorale importante – ou plus récemment Eric Whitacre, jeune compositeur dont la réputation a franchi depuis longtemps les frontières des Etats-Unis.

Sur ce programme musical, Quentin Bisch a imaginé un cycle de quatre parfums qui mène de la tombée de la nuit à l’aube.

2016

décembre

Vendredi 2 décembre 2016Une nuit américaineÉglise des Billettes

Concert pour la sortie du disque « Une Nuit Américaine »

Œuvres pour chœur a cappella de Barber, Lauridsen, Copland, Whitacre, Stucky...

Les Métaboles (20 chanteurs)
Léo Warynski, direction musicale

mars

Mercredi 30 mars 2016Concert anniversaire NomadmusicMains d'œuvre - Saint-Ouen

Extraits du programme : « Une nuit américaine »
Œuvres pour chœur a capella de Barber et Whitacre

Les Métaboles (24 chanteurs)
Léo Warynski, direction